Les résultats obtenus ont permis d’apporter des éléments de connaissances sur les concentrations atmosphériques de ces composés toxiques incluant leur variabilité saisonnière, leur partition gaz/particule, leur impact sanitaire (évaluation du risque cancérigène) ainsi que leur sources primaires et/ou secondaires, notamment en période pic de particules.
Ils permettront à terme de mieux appréhender la contribution des HAP en tant que précurseurs d’AOS (aérosol organique secondaire) en milieu urbain.
Ce travail est le premier d’envergure aux niveaux français et européen sur l’étude des NHAP et OHAP dans l’air ambiant. Il n’existe pas à ce jour d’équivalent au niveau international.